
Quelle place accorder à la sexualité dans les soins ? Le point de vue des infirmières
Lors des dernières Assises des médecins coordonnateurs, le psychosociologue Pierre Moulin, chercheur associé au Centre de recherche en Epidémiologie et Santé des Populations (CESP) de l’INSERM, a fait une intervention remarquée autour de la sexualité dans les soins. Une question encore peu explorée qui pourrait viser directement les médecins coordonnateurs et les infirmières coordonnatrices. Le Journal du médecin coordonnateur lui a demandé une synthèse de de principaux axes d’intervention.
La sexualité constitue un domaine en plein développement dans le contexte de la prise en charge des maladies chroniques (cancer, sida, Alzheimer) et du handicap, comme en témoigne l’augmentation au fil des ans des publications scientifiques, la multiplication des journées d’études et congrès qui y sont consacrés, l’émergence de nouvelles spécialités médicales (médecine sexuelle, oncosexologie) diffusant des injonctions réitérées à destination des professionnels de santé (et notamment des infirmières) pour intégrer la sexualité dans les soins, au nom de la préservation de la « qualité de vie » et de la « santé sexuelle » des personnes atteintes.
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