
Médecin coordonnateur : la profession refuse de disparaître
Alors que la réflexion sur l’avenir du métier de médecin coordonnateur se poursuit au sein de la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS), les principaux syndicats et associations du secteur expriment leurs priorités pour les années à venir dans une tribune collective publiée en exclusivité par le Journal des Soins en Ehpad.
Depuis 1999, si l’impact de la profession de médecin coordonnateur en Ehpad sur l’amélioration de la qualité des soins n’est plus à démontrer et que ses missions sont arrivées à maturité, il est toutefois encore nécessaire de les faire évoluer. Devant cette exigence, le ministère a entamé, il y a un peu plus d’un an, sous l’égide de la Direction générale de la cohésion sociale, une vaste réflexion aux côtés des principales fédérations et des syndicats du secteur pour envisager l’avenir de la profession. Pour ses représentants, le pilier de cette réforme est la création de deux contrats différents : le premier, de médecin coordonnateur, le second, de médecin traitant. Il est ainsi nécessaire de mettre un terme à l’ambiguïté concernant le droit de prescription du médecin coordonnateur que l’on voudrait transformer en médecin traitant au détriment de la coordination : la coordination n’est pas soluble dans le soin !
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