
Cédric Annweiler, chef du service de gériatrie du CHU d’Angers
Inauguré en novembre dernier, et porté par le Centre de recherche sur l’autonomie et la longévité du CHU d’Angers, Allegro (voir encadré) est le premier living lab gériatrique hospitalier de France. À l’origine de ce projet, le professeur Cédric Annweiler, chef du service de gériatrie du CHU d’Angers, revient sur les enjeux de cette initiative et sa déclinaison potentielle dans l’univers des Ehpad.
Le Journal du Médecin Coordonnateur : Une des originalités du programme Allegro est la contribution à son élaboration des personnels soignants et des patients. Ce parti pris représente-t-il selon vous l’avenir de la recherche sur les nouvelles technologies ?
Cédric Annweiler : Effectivement, un intérêt d’Allegro est de proposer des ateliers « incubateurs d’idées », c’est-à-dire des ateliers de mise en relation des développeurs gérontechnologiques avec les patients et les soignants, dans le but de permettre à ces derniers de faire remonter leurs véritables besoins, d’éviter ce que j’appelle les fausses bonnes idées que l’on peut se faire lorsque l’on n’est pas soi-même une personne âgée malade, et de guider le développement technologique futur en l’adaptant aux attentes des patients âgés et des équipes de soins.
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